Citation(s) | Référence(s) |
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– Tu joues mal, tu joues mal... et puis d'abord, c'est un peu de ta faute, lui dis-je. Je ne te vois jamais jouer avec les mêmes boules [...]. – Hé, mon beau! Puisque je peux pas m'en acheter, je joue avec les boules que mes partenaires veulent bien me prêter. |
1984, Otello, Les Histoires humoristiques de la pétanque, p. 142.
[littérature]
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L'autre [un garde-pêche] ne rigole pas. – Vos papiers! – Avec plaisir, mon beau! |
1988, P.-J. Vuillemin, Les Contes du pastis, p. 42.
[littérature]
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Le marchand d'olives parfumées [au marché d'Apt] est fier de son étal [...]. «Ce qu'il nous faudrait sur le marché, clame sa voisine marchande de bonbons servis avec des gants en latex, c'est des points d'eau, des bornes pour l'électricité, des toilettes.» Lancée par un quidam, une boutade fuse: «Des points d'eau, ma belle, mais t'as les fontaines!» |
1999, Le Monde, 2 juillet, p. 12.
[presse, journaux, périodiques]
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(Pour la variante mon bon, ma belle) La marchande de poisson, «la partisane» des marchés de la plaine, ou de la place de Lenche, claironnant leur «mon bon» ou «ma belle» avec des notes suraiguës, la balance romaine attachée à la taille, ou crochetée au pouce pour peser leurs livres de 400 grammes de marchandises, ont enchanté notre jeunesse. |
1978, A. Detaille, Les Noyaux de cerises, p. 40.
[littérature]
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Équivalent(s) |
mon cher, ma chère; mon vieux, ma vieille (fam.).
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Renvoi(s) aux autres zones francophones |
Assez courant au Québec.
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