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La gosse à qui tout était permis, qui se précipite sur le hareng mariné allongé sur l'assiette de son père en train de faire sa collation soupante [en note: petit repas qui peut remplacer le souper ou, parfois, durer jusqu'au souper]. |
1974, A. Ernaux, Les Armoires vides, 1989, p. 48.
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Elle rentrait, fourgonnait sa cuisinière, cassait de la boisette [= petit bois pour allumer le feu] pour le feu, nous préparait la collation soupante, œufs mollets, pain et beurre, liqueur d'angélique. |
19814, A. Ernaux, La Femme gelée, 1989, p. 10.
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Sa femme essuie aussitôt la toile cirée et met le couvert... ([...] à l'heure qu'il est, c'est la collation soupante). |
1988, B. Alexandre, Le Horsain, p. 281.
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