Citation(s) | Référence(s) |
---|---|
Le «comic», qui était en quelque sorte «toujours en évidence puisque c'est lui qui avait les rires, la publicité, la popularité et l'argent», avait cependant besoin, pour jouer pleinement son rôle dans le sketch et la comédie burlesque, d'un partenaire : le «straight» ou faire-valoir. Ensemble, ils formaient un couple qui pouvait s'apparenter à celui constitué au cirque par les clowns rouge et blanc. L'interdépendance de ces personnages clefs, sur qui reposait l'armature de la comédie ad lib., [...] fonctionnait selon un très élémentaire principe d'opposition [...]. |
1981, Ch. Hébert, Le burlesque au Québec, p. 124.
[études scientifiques]
|
M. Bertrand Emond, directeur de la télévision, présentait hier son équipe et la nouvelle formule de bulletins de nouvelles. [...] Dans un nouveau décor, on adoptera un ton «ad lib», beaucoup plus décontracté, annonçait-il. |
1989, Le Soleil, 1er sept., p. C1.
[presse, journaux, périodiques]
|