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Le 24 juin, jour de notre fête nationale, de gentils vendeurs et de gracieuses vendeuses offraient des insignes aux passants, moyennant obole, dans les rues de Montréal. La plupart accompagnaient leur quête de ces mots : «Tag-Day Monsieur ? » |
1933, Le Terroir, juillet-août, p. 19.
[presse, journaux, périodiques]
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Parce qu'il faut savoir qu'entre-temps certains avaient trouvé du travail, un simulacre d'avenir. [...] Du travail de porte en porte, à la merci de l'indigence des clients; une position temporaire dans un commerce en instance de faillite, des revenus d'occasions tels la vente de tag-days ou de palmes à la porte des églises : Que sais-je encore ? |
1960, P. Michaud, Mon p'tit frère, p. 52.
[littérature]
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Son occupation ? Vendeur de tagdays [sic] souvenirs, sur lesquels on peut lire : «HELP A DISABLE MAN». |
1976, N. Dumais, L'embarquement pour Anticosti, p. 74.
[littérature]
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