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Le déjeuner était le repas qu'Urgel préférait. Une assiettée de soupanne, deux œufs frits et une ou deux tranches de pâté aux pommes [...] ou des piles de crêpes avec du sirop d'érable. [...] Ainsi accoté, l'on se mettait au travail avec cœur et l'on faisait de la besogne. |
1942, A. Laberge, La fin du voyage, p. 197.
[littérature]
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