Citation(s) | Référence(s) |
---|---|
La «sucrerie», c'est ainsi qu'on appelle l'industrie sucrière, connaît un premier boom jusqu'aux années 1830 et le nombre des usines atteindra 194 en 1834. [...] Et la route impériale, appelée route de ceinture, terminée en 1855, attire les sucreries, ainsi que la mer, qu'on emprunte à partir des marines pour transporter les balles de sucre. |
2003, Le Journal de l'île, 17 août, p. 12.
[presse, journaux, périodiques]
|
Agé de trente ans, il gérait, depuis plusieurs années, la Sucrerie de Terre Rouge. |
1928, M. et A. Leblond, La croix du Sud, p. 65.
[littérature]
|
Mais aussi pour permettre à la sucrerie de continuer à tourner, même au ralenti. |
2005, Le Journal de l'île, 26 août, p. 15.
[presse, journaux, périodiques]
|
En 1834, on parle de 155 sucreries en activité, de tailles différentes, employant entre moins de 20 à plus de 200 esclaves. |
2007, Le Journal de l'île, 8 juillet, p. 17.
[]
|