Citation(s) | Référence(s) |
---|---|
La ligne [...] porte une cale de plomb, dont le poids varie selon la force des courants au milieu desquels on pêche; de l'extrémité de cette cale partent deux avançons, armés chacun d'un gros haim ou croc. |
1863, J.-Ch. Taché, «Forestiers et voyageurs», dans Les Soirées canadiennes, vol. 3, p. 47-48.
[littérature]
|
– Nastasie : Tes hins, je te les ai mis dans la poche de ton ciré. – Amédée : Je les trouve pas, puis faut que je les trouve, rapport que je vas me trouver tout seul en mer puis que mon rets est brisé. Je peux pas tendre de rets aujourd'hui, ça fait que j'emporte ma ligne puis je vas m'amuser, au large, pas loin. |
1952, J. Bernier, Je vous ai tant aimé, 14 nov., p. 6 (radio).
[radio-télévision]
|
– L'éperlan du soir, c'est un vrai champ d'étoiles qui monte du fleuve. – Un vrai plaisir pour les yeux. – Moi, c'est à mon assiette que je pense. Il faut dire que l'éperlan, c'est la dernière manne qui nous vient du fleuve avant l'hiver, dit le Renfrogné. – Eh, les gars, un monstre! Je suis sûr qu'il y a un monstre qui grignote le bout de mon hain! – Pique-le, torvis! On veut le voir, ce monstre-là. |
1996, P. Morency, La vie entière, p. 67.
[littérature]
|