Citation(s) | Référence(s) |
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Tu divagues, ma chère... Sers-moi un ballon. |
1971, J. Follonier, La Sommelière, p. 124.
[littérature]
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Le lendemain, les clients, dont l'inquiétude faisait peine à voir, commandaient un ballon, à la place des deux ou trois décis quotidiens. |
1973, G. Duttweiler, Joyeusetés de Romandie et d'alentour, p. 215.
[littérature]
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Voici un ballon de fendant que nous avons payé 1 fr. 70. Dans d'autres établissements, le prix passe à 1 fr. 90. En station, il grimpe à 2 francs et même à 2 fr. 10. Le prix du ballon : une gabegie ? Le consommateur se sent parfois grugé... |
1982, Nouvelliste du Valais, 23/24 janvier, p. 1.
[presse, journaux, périodiques]
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Le «ballon» de fendant est aux Valaisans ce que la pomme de terre est à la raclette. A l'heure de l'apéro trois Valaisans préféreront commander trois «ballons» plutôt que trois décis en carafe. Question d'habitude. |
1993, La Suisse, 18 août, p. 7.
[presse, journaux, périodiques]
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Les clients, eux, redoublaient d'indulgence et de prudence en ne consommant que des bières et des ballons. |
1995, Le Rai-Tiai-Tiai aidjolat [journal de carnaval, JU Ajoie], nº 18, p. 8.
[presse, journaux, périodiques]
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