Citation(s) | Référence(s) |
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Les premiers jours de la semaine précédant Saint-Martin, chaque famille paysanne «bouchoyait», c'est-à-dire tuait un cochon que l'on avait engraissé à cette fin et dont le poids variait entre 80 et 120 kilos. |
1975, J. Montandon, Le Jura à table, p. 55.
[littérature]
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Pour vous, nous choisissons les plus beaux morceaux / parce que, pour vous / nous bouchoyons chaque semaine. |
1976, Feuille d'Annonces du district de Boudry, 12 novembre [annonce].
[presse, journaux, périodiques]
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Souvent, le paysan a passé une semaine chez un boucher pour y apprendre à bouchoyer lui-même, et il peut alors offrir ses services de boucher itinérant de ferme en ferme. |
1983, Coopération, 10 novembre.
[presse, journaux, périodiques]
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Ayant appris son métier avec son père, M. Gilliéron allait bouchoyer de ferme en ferme pour l'entreprise familiale, ramenant son salaire à la maison. [...] M. Gilliéron a bouchoyé (à peu de chose près) un porc par jour pendant plus de 50 ans. |
1983, Courrier du Vignoble, 29 novembre.
[presse, journaux, périodiques]
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Commentaire(s) intrazone |
FRANCE : voir le sens 01.
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