Citation(s) | Référence(s) |
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La porte est ouverte. Je pénètre une nouvelle fois dans le vestibule où des feuilles mortes tourbillonnent. Je devine qu'il n'y a personne. Dans la grande chambre, les meubles et les objets ne se sont pas transformés en mon absence, mais ils semblent encore plus fragiles et absurdes. [...] J'hésite à m'asseoir, ne sachant quel siège choisir. |
1971, C. Bille, Juliette éternelle, p. 169.
[littérature]
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Il m'a reçu dans ce qu'on appelle ici la belle chambre, où sont les portraits des morts [...]. |
1971, J.-P. Monnier, L'Arbre un jour, p. 65.
[littérature]
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Je reconnaissais dès le couloir sa respiration bruyante d'asthmatique. Elle insérait son énorme personne dans l'un des fauteuils de la belle chambre et, de là, me regardait travailler dans la cuisine qui communiquait. |
1974, Fr.-Ch. Gehri, Un Sou d'or, p. 52.
[littérature]
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Au rez-de-chaussée, on trouve encore [...] la belle chambre, avec son mobilier soigné, ancien ou moderne mais de bon goût, ses plantes vertes et sa pendule, peut-être un piano avec des chandeliers. |
1976, Le Sillon romand, 9 janvier, p. 20.
[presse, journaux, périodiques]
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En somme, je vais vous résumer ce qu'elles cherchent, ces braves citadines en mal de campagne : une vieille maison aux poutres apparentes dans la grande chambre (c'est mieux, pour épater leur bande!), mais sans le paysan qui va avec! |
1976, Bouquet, 1er septembre, p. 9.
[presse, journaux, périodiques]
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