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[...] vous jouez le Dix ou le Neuf en «chindant» votre As, en espérant que le joueur nº 3 coupera. S'il coupe vous avez (peut-être) sauvé votre As. Par contre, s'il fait l'impasse, votre As est perdu. C'est pourquoi il ne faut pas régulièrement «chinder» vos cartes maîtresses, car les impasses de vos adversaires réussiront (presque) à tous les coups. |
1984, Géober, (A)tout sur le jass, p. 46.
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