Citation(s) | Référence(s) |
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Et s'il fallait à ces curieux paroissiens une raison supplémentaire pour venir à l'église, n'y a-t-il pas les demis et les litres de fendant, le fameux blanc du cru, qu'on va boire après la messe, par tablées de quatre ou cinq, dans les cafés [...]. |
1974, G. Clavien, Les Moineaux de l'Arvèche, (1re éd. 1962), p. 70.
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Si les curés devenus fous décidaient de faire sauter toutes les cathédrales il nous en resterait encore une. Cette petite cathédrale fragile, transparente, jaune, irisée : le demi et les deux verres. |
1965, M. Chappaz, Portrait des Valaisans, p. 193.
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[...] elle apporta un demi de blanc aux deux lascars. |
1971, J. Follonier, La Sommelière, p. 118.
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Sa fille et l'une de ses nièces servaient la clientèle avec diligence. Les commandes ne variaient que des demis au litre. |
1973, M. Zermatten, La Porte blanche, p. 149.
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Dès qu'il a un moment – et il s'arrange pour que ce soit souvent – il va picoler un demi, puis un nouveau demi et ainsi de suite... |
1973, A. Belperroud, Les toutes bonnes du syndic, p. 155.
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Remarque(s) |
En France, le demi est un verre de bière «qui contenait à l'origine un demi-litre, un quart aujourd'hui» (NPR 1993).
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