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Le pintier raconte volontiers que son père, qui tenait déjà le café, n'a jamais eu, de toute sa vie, qu'un jour de congé par année : le Jeûne, parce que, ce jour-là, il fermait. Aujourd'hui, le café s'ouvre à la sortie du culte et le repas du Jeûne est un des plus importants de l'année. |
1961, S. Chevallier, Le Silence de la terre, p. 141.
[littérature]
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Là aussi on palabre ferme, on discute, on échange des propos, des prix et, comme pour la vache ou la génisse vendue, on se retrouve au café qui s'emplit encore. Le pintier ne sait plus où donner de la tête et sa femme, qui a de la peine à souffler, s'évertue derrière le comptoir à remplir les bières qu'elle tend aux sommelières. |
1964, A.-L. Chappuis, À petit feu, p. 68.
[littérature]
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Il y avait eu déjà plusieurs entrevues entre le grand-père, le docteur, le pintier et le garde-forestier qui chassaient ensemble chaque automne. |
1975, A. Itten, R. Bastian, En çà... en là!, p. 229-230.
[littérature]
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Et c'est pour pouvoir plus librement se consacrer à cette passion musicale qu'il renonça à travailler la terre, préférant réhydrater ceux qui s'y consacrent. Il devint pintier à Mollens. |
1977, 24 heures, 12 janvier, p. 17.
[presse, journaux, périodiques]
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Une sève mystérieuse habite chaque être vu par Augsbourg [artiste-peintre]. Devant nous, cette sève immortelle qui les habite, fait qu'il nous semble voir le vigneron lever son verre ou le pintier abattre ses cartes. Et tout ceci dans un bruit de verres et une odeur de pipe et de cigare. |
1977, Coopération, 10 novembre.
[presse, journaux, périodiques]
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