Citation(s) | Référence(s) |
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La scolarisation obligatoire, pas plus que la scolarisation par le biais des chefs de cantons, n'ont permis une bonne fréquentation scolaire au Ouaddaï. |
1976, I. H. Khayar, Le refus de l'école, Paris, Librairie d'Amérique et d'Orient, p. 79.
[études scientifiques]
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Avant les nouvelles dispositions prises par l'administration française, alors que les chefs de villages n'étaient pas encore subordonnés à des chefs de cantons, tout allait bien... |
1981, A. Gide, Voyage au Congo, suivi de Le retour du Tchad, réédition, Paris, Gallimard, p. 233.
[littérature]
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Le chef de canton de Bodo (...) était puissant, respecté, et possédait de nombreuses épouses, signe évident de richesse et de notoriété. |
1983, A. Bangui, Les ombres de Kôh, Paris, Hatier, p. 54.
[littérature]
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Le chef de canton est une autorité reconnue par les habitants (...). Il a généralement la responsabilité de la police, de l'hygiène, de la voirie et du recouvrement des taxes. |
1987, Institut National des Sciences de l'Éducation, Géographie du Tchad (cours moyens), Paris, EDICEF, p. 24.
[études scientifiques]
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Certains ont perdu le titre de chef de canton lors de multiples découpages territoriaux aux termes desquels leurs circonscriptions administratives avaient été rattachées à d'autres cantons. |
1994, Le Progrès, 08 novembre.
[presse, journaux, périodiques]
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[Les cadres du Logone géographique assimilent] l'assassinat du chef de canton, des chefs de village et des chefs coutumiers et religieux à une volonté délibérée de détruire les fondements de la société ngambaye (...). |
1998, N'Djaména Hebdo, 26 mars.
[presse, journaux, périodiques]
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