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| Les gardes nomades, musulmans, étaient sensibles à la propagande virulente diffusée par la radio du Frolinat (installée à Sebha en Libye) et le CSM [Conseil Supérieur Militaire] n'avait pas fait les gestes nécessaires pour s'assurer leur fidélité. |
1985, B. Lanne, «Rébellion et guerre civile au Tchad (1965-1983)», dans Culture et Développement, p. 773, (Revue Internationale des Sciences du Développement, Bruxelles).
[presse, journaux, périodiques]
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| En mars 1968, les gardes nomades, auxiliaires de l'armée tchadienne, originaires du Tibesti, se révoltent et massacrent les soldats au nombre d'une dizaine qui occupent le fort [d'Aouzou]. |
1990, P. Claustre, L'affaire Claustre, p. 134, Paris, Karthala.
[littérature]
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