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Vers les dernières années de son règne, le sultan Ourada (1935-1945) œuvra pour la scolarisation des enfants ouaddaïens (...). Ses goumiers (ou gardes) allaient chercher les enfants chez eux pour les amener à l'école. |
1976, H. Khayar, Le refus de l'école, p. 76, Librairie d'Amérique et d'Orient.
[études scientifiques]
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[Le sous-préfet de Doba] parle en baissant la tête et évite de me [un prisonnier politique] regarder : « ... On va vous ligoter les mains derrière le dos, vous passer une corde au cou. Le goumier du chef de canton vous traînera devant la foule sur la place publique ». |
1980, A. Bangui, Prisonnier de Tombalbaye, p. 79, Paris, Hatier.
[littérature]
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Au premier chant du coq, sous la garde des goumiers, les prisonniers travaillaient, du matin à midi, continuellement ravitaillés en eau par des prisonnières. |
1988, N. Maoundoé, Un arc-en-ciel pour une saison sèche, p. 25, roman inédit.
[littérature]
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Les auxiliaires de l'administration et de la justice (...) sont les sultans, les chefs de cantons, les secrétaires cantonaux et les goumiers. |
1998, N'Djaména Hebdo,16 juillet.
[presse, journaux, périodiques]
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