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Il n'est pas étonnant de constater que les publications québécoises, plus particulièrement les livres, sont souvent traitées en parentes pauvres dans les étalages et les présentoirs, où les meilleures places vont aux «meilleurs vendeurs». |
1978, Gouvernement du Québec, La politique québécoise du développement culturel, t. 2, p. 314-315.
[textes administratifs ou officiels]
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