Citation(s) | Référence(s) |
---|---|
Sir Hugh Allan ne m'a jamais dit qu'il lui avait restitué ses $32.000. Tu sais qu'on n'entre jamais dans le ciel avec une token qui appartient aux autres. |
1881, Le Vrai Canard, Montréal, 5 mars, p. [2].
[presse, journaux, périodiques]
|
Les monnaies en circulation à Montréal en 1820 étaient : le souverain, le demi-souverain, la couronne, (crown), le chelin, le demi chelin, le penny, le demi penny. La Banque de Montréal émettait une monnaie fractionnelle d'un sou et d'un demi sou, cette monnaie s'appelait token. |
1884, La Patrie, Montréal, 24 déc., p. [4].
[presse, journaux, périodiques]
|
L'émission de ces jetons ou tokens fut particulièrement exploitée par les marchands, tels que les boulangers, bouchers, traversiers, taverniers, et surtout les associations de clubs, qui les utilisaient à titre de réclame ou comme «bons» dans leurs transactions commerciales. |
1952, V. Morin, dans Les Cahiers des Dix, no 17, p. 77.
[études scientifiques]
|
M'man disait pas un mot... Enfin, j'ai cru qu'elle disait rien... Elle avait la bouche ouverte comme ça, t'nez! [...] Comme ça, à partir du Pont-Jacques-Cartier, quand p'pa a frôlé la rampe du pont, alors qu'il cherchait ses «tokens»... par terre! |
1963 env., A. Brie, Chez Miville, sketch «Prosper (Québec et voyage) », p. 6 (radio).
[radio-télévision]
|
– Tiens, bois ça. Tu me dois six tokens. [.../] L'étranger remercia d'un signe de tête. Il se leva, avala son verre d'un trait et posa trois pièces de deux sous sur la table. |
1981, L. Caron, Le canard de bois, p. 213 (l'histoire se passe vers 1837).
[littérature]
|