Citation(s) | Référence(s) |
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Toujours le même, vieux gourmand! Juste à temps pour le réveillon! – Voilà ce qui s'appelle une réception enthousiaste, sourit Fernand, en acceptant une sandwich que lui offrait Gilbert. |
1931, Cl. Robillard, Dilettante, p. 84.
[littérature]
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Et pis j'vous r'mercie ben gros, p'pâ, d'être v'nu m'chercher pour me donner à souper parce que la sandwiche que Michèle m'avait apportée, ça avait beau être une sandwiche dagwood [c.-à-d. une très grosse sandwiche, d'ap. le nom d'un personnage de bande dessinée], j'avais encore faim! |
1950, P. Dagenais, Faubourg à m'lasse, 8 février, p. 2 (radio).
[radio-télévision]
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Il n'y a rien de plus important que du bon pain, frais, plein de goût, pour faire des sandwichs appétissantes [...]. |
1955, La Presse, 19 janvier, p. 24 (annonce).
[presse, journaux, périodiques]
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L'heure du dîner approche comme une consolation, un répit réparateur. Il ne va pas manger au restaurant : il est trop sale et puis ça coûte les yeux de la tête rien que pour une sanouiche [sic]. Toujours assis sur sa boîte, il grignote une sanouiche aux œufs parce que c'est vendredi aujourd'hui et qu'il faut faire maigre. |
1965, A. Major, La chair de poule, p. 138.
[littérature]
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Quand il avait terminé le sandwich, le cuisinier l'enveloppait dans un papier ciré et disait avec un accent de provenance indéfinie : «Une sandwich pour la madame Tremblay...» |
1992, M. Tremblay, Douze coups de théâtre, p. 189.
[littérature]
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Remarque(s) |
Le mot s'emploie de plus en plus au masculin, comme en France. Comme en France, le mot s'écrit le plus souvent sandwiches au pluriel.
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Réalité propre |
Emploi qui réfère à une réalité propre au pays ou à la région de la variété de français, ou qui en provient.
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