Citation(s) | Référence(s) |
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[ ... ] pour avoir amariner des oignons et des cornichons [ ... ]. |
1819, Québec, ASQ, Séminaire 124, no 29.
[archives et textes anciens]
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Étant donné qu'à l'époque il n'y avait ni frigidaire ni entrepôt aux Îles, le surplus de coques dont le pêcheur n'avait pas besoin pour le lendemain, il fallait le mettre en salaison, on appelait cela amariner des coques. |
1980, J.-Cl. De L'Orme et A. Leblanc, Histoire populaire des îles de la Madeleine, p. 105-106.
[études scientifiques]
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