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Ces Français ensauvagés, devenus Canadiens, avaient déjà hérité du nom de Sauvages quand ils avaient [...] inventé la guérilla, en s'habillant, se déplaçant, vivant à l'indienne et «razziant » les villages de la Nouvelle-Angleterre qu'ils terrorisèrent au mépris des codes guerriers du temps. |
1988, Chr. Morissonneau, «Les deux sauvages», dans G. Thérien (dir.), Les figures de l'Indien, p. 339.
[littérature]
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Non loin du territoire attikamek, Vital Francœur (qui est un métis montagnais) et sa compagne Lorraine Hallé reçoivent les touristes dans leur «village Innusit » installé depuis trois ans au bord du lac à la Croix. On y dort sous le tipi, on y vit et on y mange, à l'indienne, une succulente nourriture préparée sur feu de bois. |
1997, La Presse, 3 mai, p. H8.
[presse, journaux, périodiques]
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