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Cet encroûté, qui se permet de régenter jusqu'aux académiciens, prétend que nous n'avons nullement besoin de nous corriger de nos fautes de français; le langage iroquois lui convient; les anglicismes sont pour lui de bons termes; les mots, les expressions les plus étrangères à la langue française, tout cela lui va. |
1893, J. Daoust, dans La Patrie, Montréal, 18 nov., p. 1.
[presse, journaux, périodiques]
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