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La seule personne qui eût une forte réclamation contre la succession de M. Guérin, était le brave Déchêne, riche cultivateur, homme honnête et généreux, qui ne pouvait inspirer aucune inquiétude. [...] Madame Guérin se croyait donc parfaitement sûre; lorsqu'un jour il se présenta chez elle un petit épicier Jersais, à qui elle croyait devoir tout au plus quarante ou cinquante louis. |
1846, P.-J.-O. Chauveau, « Charles Guérin », dans Album littéraire et musical de La Revue canadienne, mars, p. 58.
[littérature]
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Remarque(s) |
On dit aussi jersiais ou (plus rarement) jerseyais, comme en France.
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