Citation(s) | Référence(s) |
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Rosalie [...] a donc toujours le cœur malade et le docteur perdra tout son micmac en vain, tant que certain garçon n'aura pas tac, animé la jolie malade. |
1826, L.-J. Papineau, dans RAPQ 1953-1955, p. 238.
[archives et textes anciens]
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Quant aux journaux français [des États-Unis], on dirait que leurs écrivains ont à cœur de faire apprendre le micmac à leur [sic] lecteurs. Qu'on les ouvre, ces feuilles dites françaises [...], et si l'on n'y trouve pas la sixième partie de leurs écrits formée de locutions anglaises, nous consentons à être pendu haut et court. |
1882, Le Saguenay, Chicoutimi, 26 déc., p. 3.
[presse, journaux, périodiques]
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Il m'a donné des esplications qu'étaient ben correctes, je cré ben, mais que j'ai pas trop compris. Ça parlait du vent... du ventre... ventri, menteri... je sais pas trop. Toujours que ça rimait avec cloque... berloque... bad luck... quèque chose comme ça. Enfin, j'vous conseillerais de pas trop vous fier à ce micmac-là. |
1907, L. Fréchette, «La hère», dans A. Boivin et M. Lemire (éd.), Contes II. Masques et fantômes, 1976, p. 322.
[littérature]
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N'empêche que le livre de M. Desrosiers, le premier du genre, au Canada, est d'un intérêt prenant. [...] Son style est un peu déconcertant à cause de l'amas volontaire des termes scientifiques. Souhaitons vite la fin du monde s'il nous faut être réduits à parler micmac avant quelque trente ans. |
1931, J.-E. B., dans Le Canada français, vol. 19, p. 149.
[littérature]
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