Citation(s) | Référence(s) |
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«A la santé de madame et bonjour.» Il [...] ferma la porte en sifflotant son God save the Queen. |
1844, J. Doutre, «Faut-il le dire!...», dans J. Hare (éd.), Contes et nouvelles du Canada français, 1778-1859, t. 1, 1971, p. 173.
[littérature]
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Pour finir, elle lui demandait une image, une médaille. En partant, en manière de bonjour, elle lui donnait familièrement un [sic] tape sur le bras, sur l'épaule. Chacune des visites de la Scouine était pour le malheureux [vicaire] une dure épreuve. Il ne pouvait réussir à s'en débarrasser. |
1918, A. Laberge, La Scouine, p. 107.
[littérature]
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– «Ta tante, a'reste toujours sur le boulevard Saint-Joseph ?» – «Ben oui, c't'affaire, vous savez ben qu'a'peut pus déménager depuis qu'a'peut pus grouiller!» – «Dis-y bonjour de ma part...» – «Certain. Bonjour, là.» - «Bonjour.» Quand Béatrice fut sortie, Marie-Sylvia la suivit du regard jusqu'à ce qu'elle ait traversé la rue Gilford. |
1978, M. Tremblay, La grosse femme d'à côté est enceinte, p. 64.
[littérature]
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Remarque(s) |
1. En France, bonjour ne s'emploie couramment aujourd'hui qu'en arrivant quelque part ou qu'en rencontrant qqn, sauf dans des usages régionaux où il peut se dire aussi en partant. 2. Au revoir est également employé au Québec en quittant quelqu'un mais est généralement senti comme soigné.
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