Citation(s) | Référence(s) |
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Nous voila donc logez à une pointe de terre exposée à tous vents, nous mettons nostre canot derriere nous pour nous abrier, & comme nous craignions la pluye ou la neige mon hoste jette une meschante peau sur des perches, & voila nostre maison faicte. |
1635, dans RJ 7, p. 200.
[archives et textes anciens]
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A méme temps que cecy se passoit, sa femme accoucha toute seule sa[n]s ayde d'aucune personne, elle accoucha le matin, & sur le midy je la vey travailler, elle s'estoit retirée sous une mécha[n]te écorce qui ne l'abrioit d'aucun vent [...]. |
1640, dans RJ 16, p. 106.
[archives et textes anciens]
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(Pour la variante abriller). Ceux qui passaient à la porte étaient les bienvenus dans leur maison. Ils mettaient tous le même empressement à tirer la meilleure chaise près du poêle. – Entrez donc vous abriller un peu. Y va mouiller! On est en chaleur dans la maison. |
1934, M. Le Franc, La rivière solitaire, p. 171.
[littérature]
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