Citation(s) | Référence(s) |
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Nous avons la grosse truite grise [c.-à-d. le touladi], qui atteint jusqu'à vingt livres en pesanteur, la truite saumonée [c.-à-d. l'omble de fontaine], dite truite de lac, qui pèse d'une demie à cinq livres, la truite de ruisseau ou de rivières [sic], dont les plus pésantes n'excèdent pas trois livres. |
1887, J.M. LeMoine, Chasse et pêche au Canada, p. 246.
[études scientifiques]
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Les rivières Missiquinak, Papinachois, aux Outardes et Saint-Pancras et plusieurs autres qui ont leurs embouchures un peu plus bas, n'offrent pas de frayères au saumon; celui-ci ne peut pas remonter les grandes chûtes qui se trouvent à peu de distance de leurs estuaires; mais, dans ces derniers on pêche la truite de mer en abondance, et plus haut que les chûtes, la truite de rivière. |
1892, N. LeVasseur, dans Bulletin de la Société de géographie de Québec, vol. 2, no 1, p. 69.
[études scientifiques]
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La truite de rivière, le jour, recherche le plus souvent la tranquillité derrière des obstacles de même que la plupart des poissons de nuit. Elle recherche aussi les eaux rapides et bien oxygénées. Elle apprécie également l'embouchure des ruisseaux qui lui procurent nourriture, fraîcheur et oxygène. La truite de lac, elle, recherchera la source du lac tard en saison et la décharge au printemps. La truite de lac affectionne tout particulièrement les nombreux rochers qui meublent les alentours du rivage, ainsi que le dessous des arbres. |
1980, P.-R. Mercier, La pêche à la ligne, p. 69.
[études scientifiques]
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Réalité propre |
Emploi qui réfère à une réalité propre au pays ou à la région de la variété de français, ou qui en provient.
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