Citation(s) | Référence(s) |
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Un jour, après le souper, moi et La Marie-como avions été avec Pivaromme dans sa doré qu'rir de la clairette d'encens à mâcher. Après en avoir coupé pas mal sur lés meilleurs prusses, on est arrivé où qui avait une bouillée d'bouleaux blancs. |
1974, R. Brun, La Mariecomo, p. 21.
[littérature]
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Les framboises, les sapins et la prusse sont les seuls choses qui croissent en a païs [...]. La prusse est une production d'arbre dont on se sert pour faire une sorte de biére assés bonne, médecinale et d'un grand secours pour le païs vû que l'eau naturelle n'y est pas même potable. |
1735, «Lettres de M. L'abbé Maillard, missionnaire en Acadie», dans Le Canada français, t. 4, 1891, p. 59.
[archives et textes anciens]
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Des sapins gigantesques piquaient les nuages. De la forêt vierge, sans cadre, sans symétrie, d'où se dégageait pourtant un rythme indéfinissable. De grands pruces secs, solitaires; quelques feuilles jaunies par le vent; un tronc de bouleau blanc, montant tout droit; des branches cassées, se tenant encore par l'écorce. |
1958, A. Maillet, Pointe-aux-Coques, p. 7.
[littérature]
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Renvoi(s) aux autres zones francophones |
On dit épinette au Québec.
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