Citation(s) | Référence(s) |
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Il y avait des espèces [d'arbres] rares, telles que le bois de violon (mélèze) et l'aricot (pruche) dont l'écorce servait à tanner les peaux avec lesquelles on confectionnait les souliers de peau, ancêtres des mocassins modernes [...]. |
1967, E. Boudreau, «Le parler acadien du sud du Cap-Breton», dans Cahiers de la SHA, vol. 2, nº 5, p. 197.
[études scientifiques]
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Pour ulcération des gencives: mâcher de l'écorce de pruce (d'épinette) noire ou de l'écorce de violon (mélèze). |
1972, A. Chiasson, Chéticamp. Histoire et traditions acadiennes, p. 180.
[études scientifiques]
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Ce que nous appelons aujourd'hui le Grand Désert était alors tout couvert du plus beau bois à billots, comme l'était aussi toute la région du Grand Lac. [...] Du plus long mât à la quille, on y trouvait tout ce que l'on voulait pour construire le futur bateau. On avait surtout besoin de trois sortes de bois: l'épinette, que nous appelons «pruce», le mélèse, en langage de Pubnico «le violon», et le merisier. |
1977, D. d'Éon, Histoires de chez-nous, p. 10.
[littérature]
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Alfred, de son instrument de bois fabriqué de violon, tirait sur son archet en os de thon [...]. |
1979, C. LeBouthillier, Isabelle-sur-Mer, p. 150.
[littérature]
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Mon bateau est solide, disait-il fièrement. Regarde sa quille en bouleau noir, ses planchers, ses membrures et ses chevilles en épinette et en violon [...]. |
1979, C. LeBouthillier, Isabelle-sur-Mer, p. 56.
[littérature]
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Les arbres de cette isle ne sont remarquables ni par leur grosseur [...]. Il y a peu de bois franc, presque point d'érable, encore moins de cèdre, à la place duquel on fait usage de l'épinette rouge, nommé violon dans le pays, comme de celui qui résiste plus longtemps à l'air et à la pluie. |
1812, J.-O. Plessis, «Journal de la mission de 1812», dans Cahiers de la SHA, vol. 11, nº 1-3, 1980, p. 80.
[archives et textes anciens]
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(Au Québec). Épinette rouge.
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