Citation(s) | Référence(s) |
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[...] l'habitation même où j'étais né, et d'où, à l'âge de cinq ans, je n'étais jamais sorti. |
1950, J. Zobel, La Rue Cases-Nègres, p. 15.
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Quand il sera midi - tu sais ? quand la cloche de l'habitation va sonner - tu prendras un verre d'eau et tu le verseras sur cette assiette de farine. |
1950, J. Zobel, La Rue Cases-Nègres, p. 22.
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Qu'est-ce que tu as ? Tu es fatigué d'avoir gambadé sur l'habitation du béké ? me demande m'man Tine. |
1950, J. Zobel, La Rue Cases-Nègres, p. 42.
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Avant d'être contremaître à l'usine, M. Justin avait été géreur de l'habitation Reprise. |
1950, J. Zobel, La Rue Cases-Nègres, p. 155.
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Nous franchîmes plusieurs mornes. Nous passâmes par plusieurs habitations où des chiens aboyaient et des coqs chantaient. |
1950, J. Zobel, La Rue Cases-Nègres, p. 188.
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Car les travailleurs venant s'inscrire sous leurs prénoms, pour distinguer plusieurs porteurs d'un même prénom, l'Habitation y ajoute pour chacun une épithète pittoresque ou triviale caractéristique de la physionomie, de la corpulence de l'intéressé; ou bien le prénom de sa mère; de son homme, si / c'est une femme; ou du quartier dont il est originaire. |
1950, J. Zobel, La Rue Cases-Nègres, pp. 64-65.
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