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Orélie, folle de joie, nous fait visiter la chambre qui s'est embellie depuis que M. Symphor et Mam'zelle Francette, ses parents, ont acheté une à une quatre caisses et des planches, dont ils ont fait un bâti sur lequel sont empilés des haillons recouverts d'une cretonne. |
1950, J. Zobel, La Rue Cases-Nègres, p. 32.
[littérature]
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Romane, c'est Mam'zelle Appoline qu'elle préfère. Une vieille qui n'y voit pas bien clair, et qui / nous appelle pour lui retirer des chiques des pieds, ce que je n'aime pas faire. |
1950, J. Zobel, La Rue Cases-Nègres, pp. 53-54.
[littérature]
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[...] il est vrai que M. Donatien battait chaque samedi soir Mam'zelle Horacia, sa femme; mais celle-ci ne lui ménageait pas non plus les coups de dents [...]. |
1950, J. Zobel, La Rue Cases-Nègres, p. 51.
[littérature]
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Je connaissais aussi Mam'zelle Mézélie, dont la / chambre touchait à la nôtre. Une grande femme qui était toujours chez elle vêtue d'une simple chemise, et qui m'envoyait souvent lui acheter du rhum lorsqu'il y avait un homme en dedans avec elle. |
1950, J. Zobel, La Rue Cases-Nègres, pp. 142-143.
[archives et textes anciens]
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Quelle ne fut pas ma stupéfaction, lorsque Jojo m'avoua que sa vraie mère était Mam'zelle Gracieuse, cette femme qui habitait non loin de la Cour Fusil, non loin de la maison de M. Justin Roc, que je voyais tous les jours, et pour qui j'avais même été faire des commissions parfois. |
1950, J. Zobel, La Rue Cases-Nègres, p. 154.
[littérature]
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Jojo, lui, resta muet quand je lui appris la nouvelle [de la mort de la grand-mère du narrateur]. Puis, il murmura simplement : - Pauvre mam'zelle Amantine! |
1950, J. Zobel, La Rue Cases-Nègres, p. 308.
[littérature]
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Et moi, ajoute Soumane, regarde un peu comment je suis déchiré dans le dos. C'est mamzé Romane qui m'a fait ça en courant dans le chemin de la Trénelle. Elle voulait passer devant moi, elle m'a tenu comme ça, elle a tiré, et crac! |
1950, J. Zobel, La Rue Cases-Nègres, p. 38.
[littérature]
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Enfin, voyez-moi un peu les genoux de ce petit bonhomme!... Ah non! j'en peux plus, j'en peux plus. Il faut que Mamzé Délia vienne chercher son iche. |
1950, J. Zobel, La Rue Cases-Nègres, p. 49.
[littérature]
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