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char 19.
Vedette
char (n. m.)
[ʃɑʀ]
Parfois féminin autrefois.
Définition
Vieilli Contenu d'un wagon; mesure, quantité que représente ce contenu. – (Par ext.). Fam. Grande quantité.
Un char de chevaux, de bois, de fer. Acheter, vendre de la marchandise au char.
[État des données: avancé]
Variante(s) phonétique(s)
[ʃɒʀ]
(très fam.)
| Citation(s) | Référence(s) |
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| Le Demandeur [...] avait poursuivi les Défendeurs de ce que les dits Défendeurs, après avoir fait rendre à Arthabaska un char de fleur [«farine»] qu'ils lui avaient vendu à terme, refusèrent de le lui livrer, à moins qu'il ne payât comptant ou ne fournit cautionnement [...]. |
1883, Québec, ANQQ, Cour d'appel (Québec), cause no 7, factum de l'appelant, p. 1.
[archives et textes anciens]
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| La nouvelle qui depuis quelques jours faisait l'objet des conversations aux veillées était celle de l'arrivée prochaine d'une garde-malade. M. Rolland avait envoyé à Québec «un char de papiers» pour montrer la nécessité urgente d'une garde, et la Commission d'hygiène s'était enfin décidée à en nommer une. |
1934, M. Le Franc, La rivière solitaire, p. 90.
[littérature]
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| Petit à petit, les clôtures de perches disparaissaient. La mode était à la broche. J'ai travaillé à grouper les commandes, afin d'obtenir un meilleur prix. C'était en 1921. Une année qui se ressentait encore de la prospérité de la guerre. J'ai fait venir un char entier. |
1950, Fr. Gaudet-Smet, Racines, p. 116-117.
[littérature]
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| Dehors, beau temps, grand soleil, mais dans notre cerveau un char d'idées pas claires et des questions en masse [...]. |
1982, J.-P. Filion, À mes ordres, mon colonel!, p. 203.
[littérature]
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Origine
Emprunt d'un sens anglais américain
Historique
Depuis 1883. D'après l'anglais américain car (v. Craigie, Mathews et OEDSuppl 1972 qui ne signalent cependant pas l'emploi par extension).
QU: 805