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Ces chers compatriotes! voyez-les partir l'œil morne, l'âme abattue. Le sifflet des chars qui annonce le départ, retentit au fond de leurs cœurs comme un coup de massue qui les écrase. |
1880, Z. Lacasse, Une mine produisant l'or et l'argent, p. 10.
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Au bon vieux temps on attelait «la Grise» pour entreprendre de longs voyages; les marins couraient des bordées sur les fins voiliers... Aujourd'hui on a les chars, les autos, les dirigeables, et on appelle «ville flottante» un bateau à vapeur... |
1919, Fr. DesRoches, «En furetant», p. 154.
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Le postillon n'était jamais en retard, excepté dans les tempêtes d'hiver. Non pas que son cheval, toujours le meilleur de la paroisse, restât embourbé dans les bancs de neige, mais les chars ne respectaient pas leur horaire. Et, de la gare au village, on comptait bien deux lieues. |
1937, L'Oncle Gaspard, Le dessus du panier, p. 18.
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– On te demande si t'as eu vent à Sorel du gros accident ? – Quel accident ? – Apparence que trente-quelques personnes ont péri dans une explosion à la station des chars du Pacifique, à Montréal. |
1945, G. Guèvremont, Le Survenant, p. 112.
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