Citation(s) | Référence(s) |
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Tous les bouchers et boulangers anglais qui désirent se livrer à ces métiers devront prendre un permis pour ce faire chez le Secrétaire, et quiconque pratiquera ces commerces sans en avoir au préalable obtenu un permis, sera, pour la première offense, condamné à cinq livres d'amende [ ... ]. [ ... ] Le prix du pain du poids requis et bien cuit sera comme suit – Pain blanc... 5 deniers la livre. Pain ordinaire... 4 deniers la livre. (la version anglaise, où l'on trouve pound pour livre, confirme qu'il s'agit de la monnaie de compte anglaise) |
1760, proclamation du gouverneur Murray, dans Report of the Public Archives for the Year 1918, 1920, p. 42.
[textes administratifs ou officiels]
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Il a été ordonné par les dit Commissaires, que considérant les prix du Bled et Farine et les mauvais chemins au Moulins dans le district et environs de Montréal, le Taux et Assize du pain sera comme suit, sçavoir : Le pain blanc, pesant 4 lb. à six deniers ou douze sols. |
1778, La Gazette de Québec, p. 3.
[presse, journaux, périodiques]
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[ ... ] le banc No 18, rangée du nord, dans la nef, dans l'Eglise de Saint-Valier, [ ... ] a été par nous marguillier en exercice soussigné, adjugé à la criée [ ... ] pour la somme de seize piastres, trois chelins et quatre deniers courant, la plus haute offerte à l'enchère [ ... ]. |
1865, Archives de la Fabrique de Saint-Vallier (Bellechasse), livre de comptes 1854-1884, 30 avril.
[archives et textes anciens]
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Le système des monnaies de cuivre a été si longtemps dans un si mauvais état qu'on sentit un besoin général de la circulation de centins; le Ministre des Finances pour rencontrer ce besoin du public, a par une circulaire autorisé tous les départements du gouvernement et les officiers de recevoir les monnaies de cuivre légalement autorisées, les sous et les demi-deniers pour des centins et les deniers pour deux centins, et a prié tous les banquiers, marchands et autres de faire de même. Toutes les autres monnaies de cuivre sont illégales. |
1870, La Minerve, Montréal, 4 oct., p. [ 2 ].
[presse, journaux, périodiques]
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Un Crémazie empilant louis, chelins et deniers derrière son comptoir, un Crémazie riche et replet, avec pignon sur rue et table ouverte aux courtisans, eût-il imprégné ses poèmes d'une mélancolie caractéristique et laissé à la postérité les beaux et douloureux accents du Vieux soldat ou du Drapeau de Carillon ? |
1946, S. Marion, dans Le Canada français, vol. 33, p. 391-392.
[littérature]
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Équivalent(s) |
penny (moins fréquent au Québec)
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